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Entretien de Roger Champarnaud
- Auteur(s)
- Bourquin Jacques
- Champarnaud Roger
Entretien de Roger Champarnaud
Interview de Roger Champarnaud, instructeur technique à Saint-Hilaire de 1946 à 1950. Dans cette dernière, il évoque sa prise de fonction, son rôle en tant qu'instructeur technique, les difficultés de la vie quotidienne des jeunes dans cette établissement ainsi que les relations entre éducatifs, administratifs et techniques.- Auteur(s)
- Bourquin Jacques
- Champarnaud Roger
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Entretien de Victor Ventré
- Auteur(s)
- Bourquin Jacques
- Ventré Victor
Entretien de Victor Ventré
Interview de Victor Ventré, membre de la première génération des moniteurs-éducateurs recrutés par l'administration pénitentiaire en 1936-1937. Arrivé à la maison d'éducation surveillée (MES) de Saint-Hilaire fin 1936, il y restera jusqu'en 1957 dont dix ans en tant que directeur (1947-1957).- Auteur(s)
- Bourquin Jacques
- Ventré Victor
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Entretien de monsieur Trentia
- Auteur(s)
- Bourquin Jacques
- Trentia
Entretien de monsieur Trentia
Interview de monsieur Trentia, arrivé à Saint-Maurice le 28 février 1943 à l'âge de 14 ans après être passé devant le tribunal allemand. Dans cette interview, il revient sur une "journée type" dans cet établissement en 1944, le rôle des éducateurs ainsi que les sanctions et les récompenses mises en place dans ce dernier sous la direction de René Courtois.- Auteur(s)
- Bourquin Jacques
- Trentia
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Témoignage de Raymond Berthet
- Auteur(s)
- Berthet Raymond
Témoignage de Raymond Berthet
Témoignage hommage de Raymond Berthet à René Courtois, pionnier de l'éducation surveillée. Pensionnaire à Saint-Maurice avant la seconde guerre mondiale, Raymond Berthet l'avait rencontré après avoir fugué. René Courtois était alors le directeur adjoint de l'établissement.- Auteur(s)
- Berthet Raymond
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Entretien de René Courtois
- Auteur(s)
- Courtois René
- Bourquin Jacques
Entretien de René Courtois
Interview de René Courtois (1907-1992), sous directeur réformateur de la maison d'éducation surveillée (MES) de Saint-Maurice en 1938. Il deviendra ensuite le directeur charismatique de cet établissement de 1944 à 1957. Dans cette interview, il évoque tout particulièrement deux périodes : celle de la réforme fin 1938 et celle de l'occupation allemande durant la seconde guerre mondiale.- Auteur(s)
- Courtois René
- Bourquin Jacques
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Entretien de Jacques Seidel
- Auteur(s)
- Seidel Jacques
- Bourquin Jacques
Entretien de Jacques Seidel
Interview de Jacques Seidel, entré à l’éducation surveillée en octobre 1944 en tant que moniteur-éducateur à Saint-Jodard après un an comme encadrant aux Compagnons de France. Dans cette interview, il nous présente les "gamins" de l'époque, certains de ses collègues éducateurs, la rigidification du fonctionnement en 1945 suite à l'augmentation du nombre d'adolescents pris en charge et le poids du directeur dans un tel établissement. Il quittera ce dernier en novembre 1946.- Auteur(s)
- Seidel Jacques
- Bourquin Jacques
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Entretien de Paul Lutz [Réalisé en 1990]
- Auteur(s)
- Lutz Paul
- Bourquin Jacques
Entretien de Paul Lutz [Réalisé en 1990]
En 1941, Paul Lutz est affecté à la direction de l’administration pénitentiaire où il s’occupera des mineurs avec Pierre Ceccaldi. Contrôleur général des services, il assure de nombreuses inspections dans les années 1943-44. En 1945, lors de la création de l’éducation surveillée, il assure la fonction d’inspecteur, notamment pour les établissements de jeunes filles. Préoccupé par la rééducation de ces dernières, il sera à l’origine de l’ouverture de l’institut publique d'éducation surveillée (IPES) de Brécourt en 1947 et de la fermeture de l’ancienne école de préservation de Cadillac en 1951. Conscient de la lourdeur des gros internats, il favorise pour les mineurs les plus difficiles des établissements plus petits avec des séjours plus courts, comme les institutions spéciales d'éducation surveillée (ISES) des Sables d’Olonne pour les garçons et Lesparre pour les filles.- Auteur(s)
- Lutz Paul
- Bourquin Jacques
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Entretien de Paul Lutz [Réalisé en 1996]
- Auteur(s)
- Lutz Paul
- Bourquin Jacques
Entretien de Paul Lutz [Réalisé en 1996]
Interview de Paul Lutz axée sur l’éducation surveillée durant la seconde guerre mondiale. Affecté à l’administration pénitentiaire en 1941, Paul Lutz s’occupait de la question des mineurs avec Pierre Ceccaldi depuis 1942. Dans cette interview, il aborde le fonctionnement de l’administration à cette période, la naissance de la circulaire du 21 mars 1942 et de la loi du 27 juillet 1942, la mise en place de centres d’accueil tel que celui de la rue de Crimée et les inspections durant l'occupation.- Auteur(s)
- Lutz Paul
- Bourquin Jacques
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Entretien d'André Bernard
- Auteur(s)
- Bernard André
- Bourquin Jacques
Entretien d'André Bernard
Entretien d'André Bernard, moniteur-éducateur à Saint-Hilaire à partir de 1943. il y évoque les moniteurs éducateurs de l'époque, les "gosses" présents dans cet établissement et les idées pédagogiques de François Dhallenne et Victor Ventré.- Auteur(s)
- Bernard André
- Bourquin Jacques
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Entretien d'Abel Perrot
- Auteur(s)
- Perrot Abel
- Bourquin Jacques
Entretien d'Abel Perrot
Entretien d'Abel Perrot, moniteur-éducateur à Saint-Hilaire à partir d'octobre 1942. Concernant cet établissement, Abel Perrot évoque la direction de François Dhallenne et la période de la libération. En 1947 il devient sous-directeur à Saint Jodard, établissement sans passé pénitentiaire ou le système progressif est mis en place. En 1954 il devient sous-directeur d'Aniane. Dans cet entretien, il revient sur les activités mises en place là-bas. En 1963, il est rappelé à Saint-Hilaire en tant que directeur.- Auteur(s)
- Perrot Abel
- Bourquin Jacques
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Discours de René Pleven - 1972
- Auteur(s)
- Pleven René
Discours de René Pleven - 1972
Discours prononcé par René Pleven, Garde des Sceaux, pour l'inauguration de l'école d'éducateurs de Toulouse en 1972. Après avoir remercié les différents partenaires et personnes engagées dans ce projet, il dresse un panorama des différents services de l'éducation surveillée en Haute-Garonne. Il termine son allocution en s'adressant directement aux éducateurs et éducatrices présents ce jour-là :
"Votre objectif ne sera pas de façonner plus ou moins bien un être pour tenter de le rendre conforme à un stéréotype conventionnel, mais bien de rassurer ce jeune sur lui-même, de lui redonner confiance, puis de lui permettre de développer et d’épanouir sa personnalité. Vous lui donnerez en somme les moyens de conquérir son autonomie et de se trouver ainsi vraiment libre. Avant tout, vous lui ferez comprendre par votre exemple, que sans tolérance il n’est pas de véritable liberté."- Auteur(s)
- Pleven René
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