Ce numéro 11 est constitué par les annonces de stages organisés prochainement par le CRF ainsi que le compte-rendu de stages déjà effectués et de pages d'Expression libre. Enfin, ce numéro est aussi l'occasion de revenir sur les 2 ans et demi d'existence de la Hune (suite au départ de son directeur de publication) et d'évoquer l'actualité de la vie de l'éducation surveillée ainsi que la mesure de Consultation d'Orientation Educative (COE)
Ce numéro 14 est essentiellement constitué par le programme de stages organisés prochainement par le CRF pour l'année 1985 et par les rubriques "Coin Lecture" et "pages libres". Un certain nombre d'articles sont aussi consacrés à l'arrivée de nouvEaux collègues dans les équipes en place. Enfin, sont présentées 2 Structures sous la forme d'interview.
Ce numéro 17 est constitué par le descriptif du cursus de Formation initiale des éducateurs 85-87 et des Personnels de catégories C et D., du compte rendu d'une conférence débat sur la Drogue, de points de vue sur l'Education surveillée, d'un Entretien avec Jacques Coube, d'articles sur la décentralisation et le travail partenarial sur l'insertion.
Premier numéro de la revue Ancres qui, en articulant les écrits de différents acteurs de l'éducation surveillée (chercheurs, Professionnels de terrains, journalistes, élus, etc.), propose des articles de fonds, des chroniques, un Agenda, des enquêtes, etc. Ce numéro se consacre à l'actualité des métiers en regard des Politiques publiques ainsi qu'à l'actualité de la Recherche en sciences sociales. Une enquête ouvre par ailleurs un débat sur le métier d'éducateur. Un chapitre présente l'Histoire de la formation ainsi que du site de Vaucresson. Enfin, le numéro est clos par trois nouvelles.
Second numéro de la revue Ancres qui, en articulant les écrits de différents acteurs de l'éducation surveillée (chercheurs, Professionnels de terrains, journalistes, élus, etc.), propose des articles de fonds, des chroniques, un Agenda, des enquêtes, etc. Ce numéro se consacre dans un premier temps à l'évolution de l'éducation surveillée, des colonies agricoles et pénitentiaires au travers d'archives photographiques. Il aborde par ailleurs points de de vue sur la Culture Jeune : vêtements, LangAge, image, etc. Illustré de nombreux clichés et témoignages, il développe également le travail d'éducateur.
Huitième numéro de la revue Ancres qui, en articulant les écrits de différents acteurs de l'éducation surveillée (chercheurs, Professionnels de terrains, journalistes, élus, etc.), propose des articles de fonds, des chroniques, un Agenda, des enquêtes, etc. Ce numéro est thématisé par un Dossier traitant de la délinquance abordé sous les angles de l'action sociale, de la prévention, des enjeux et des réalisations locales.
Ce cinquième numéro revient sur l'histoire de l'IPES de Saint-Hilaire via deux témoignages, celui de Victor Ventré, directeur de l'institut de 1947 à 1957, et celui de J.-J. Ratier, éducateur dans ce même établissement dans les années 50.
Ce dix-huitième numéro revient sur Mai 68 à l'éducation surveillée. Il relate également l'histoire de l'Ordonnance de 1958 en 1959 à Saint-Maurice à travers le témoignage de Bernard Brun. Enfin, un hommage à Joseph Menga, éducateur, clôture ce dernier.
Ce quatre-vingtième numéro est consacré à l'observation. Le dossier est composé de deux articles. Dans le premier, Jean-Pierre Jurmand poursuit l'histoire du centre d'observation publique d'éducation surveillée (COPES) de Marseille, de la prison des Beaumettes aux Chutes-Lavie. Dans un second, Henri Tessandori, Serge Soto et Jean-Pierre Léguillier, trois professionnels ayant évolué au sein de ce même COPES, partagent avec nous leurs souvenirs dans cet établissement. Ce numéro se clôture par la présentation d'une archive, commentée par Gisèle Fiche, qui consiste en les voeux de Raymond Pailhès prononcés devant les personnels de l'institution pour la nouvelle année 1960.
Ce soixante-dix-neuvième numéro est consacré au centre d'observation Chutes-Lavie à Marseille, de 1947 à 1968. Le dossier est composé de deux articles. Dans le premier, Jean-Pierre Jurmand nous présente l'histoire du centre d'observation public d'éducation surveillée (COPES) de Marseille, de la prison des Beaumettes aux Chutes-Lavie . Dans un second, Serge Soto et Jean-Jacques Ciavaglini, deux professionnels ayant évolué au sein de ce même COPES, partagent avec nous leurs souvenirs dans cet établissement. Le réglement intérieur des Chutes-Lavie (1960-1965) commenté par Gisèle Fiche vient compléter ce dossier. Enfin, ce numéro se clotûre sur le témoignage de Bernard Delb suite à son passage sur le site de l'ancien IPES Saint Maurice o๠il avait été placé.
Ce soixante-dix-huitième numéro est consacré aux événement de Mai 1968 à l'Education surveillée. Le dossier est composé de deux articles. Dans le premier, Yves Douchin, alors jeune éducateur et secrétaire général du syndicat majoritaire, relate ses souvenirs des folles journées de cette période. Dans un second, Jacques Bourquin revient quant à lui sur l'effervescence de 68 dans la formation des personnels. Le témoignage de Marcelle Decome Tandé, éducatrice à l'IPES de Brécourt, ainsi qu'une archive concernant le SNPES, complètent ce dossier. Enfin, ce numéro se clotûre sur une communication au sujet du dictionnaire biographique du service social en ligne.
A l'occasion de son cinquantième numéro, Pour l'Histoire a choisi d'évoquer la réforme de l'Education Surveillée engagée en 1983. Pour ce faire, ses membres ont rencontré Myriam Ezratty, directrice de l'Education Surveillée de 1981 à 1983 et signataire de la circulaire ayant pour objet la mise en place de la politique départementale de l'Education Surveillée du 11 avril 1983. Entre les événements violents de Minguettes et le Colloque de Vaucresson, Myriam Ezratty éclaire le contexte dans lequel l'Education Surveillée a entamé sa décentralisation. Ce numéro contient également un article de Yann Le Pennec sur Prosper Gubéric, veilleur de nuit à l'IPES de Belle-Ile-en-Mer.
Ce trente-huitième numéro est consacré au 60ème anniversaire de la promulgation de l'Ordonnance du 2 février 1945. Jean-Louis Costa, premier directeur de l'éducation surveillée de 1945 à 1951 et dont le plan de réforme de 1946 posait les bases et les orientations de cette nouvelle administration, est évoqué à travers les écrits de trois personnages de l'éducation surveillée contemporains de cette période : Paul Lutz, magistrat que l'on peut considérer comme un des pères fondateurs de l'ES ; Guy Dutey et Dominique Colombani, deux éducateurs pionniers.
Ce trente-septième numéro contient un article dedié au centre d'Observation public d'éducation surveillée (COPES de Juvisy-sur-Orge, ainsi qu'un article comparant les deux films suivants : "Les choristes" de Christophe Barratier et "La cage aux rossignols" de Jean Dréville. Un hommage à Gérald Deville, grand administrateur au sein de la direction de l'éducation surveillée, clôture ce dernier.
Ce trente-sixème numéro contient deux témoignages, celui de Charlotte Merle-Toscani, qui revient sur l'histoire de l'ISES de Lesparre ; et celui d'Eliane Bouyssiere-Catusse, qui fut la co-animatrice de la revue Ancres, qui relate l'histoire de cette dernière. Ce numéro est clotûré par un hommage à Jacques Courtes, ainsi qu'à Serge Pérez, Gérald Deville, Jeanine Morand, Lucien Prétot et Jacky Beillerot.
Ce quarante-quatrième numéro contient un article de Guy Dutey, évoquant ses premières années d'éducateur à l'IPES de Saint-Jodard vers 1946-1948. Il aborde notamment la relation transversale de l'éducateur, "élève maçon", qu'il établit avec les jeunes qui suivaient la même formation que lui. Un autre article de Roger Bello, éducateur puis directeur général de l'Association Vers la Vie pour l'Education des Jeunes (AVVEJ) de 1984 à 1996, questionne quant à lui l'utilisation de la réglementation dans l'intérêt des jeunes. Ce numéro est clotûré par un hommage à Marc Ehrhard, l'un des pionniers de l'Education surveillée.
Ce trente-cinquième numéro contient deux témoignages, celui de Jacques Seidel revenant sur ses 45 années de carrière à l'éducation surveillée ; et celui de Claire Dumas, éducatrice à l'ISES de Bourges à partir de 1968, qui dresse le portrait de Renée Prétot, directrice de cet établissement.
Ce vingt-quatrième numéro relate, à travers un texte de Jean-François Chosson, l'histoire de la première promotion d'éducateurs de l'Education surveillée (1952-1953). On y retrouve également un texte de Mathias Gardet, historien chargé du projet de création d'un centre d'exposition permanent à Savigny-sur-Orge, "Enfants en Justice", ainsi qu'un texte de Jacques Bourquin sur l'enseignement de l'histoire à l'éducation surveillée-PJJ. L'annonce des decès de Bernard Maradan, historien, et de Rassa Appelaniz-Rikkers, l'une des premières psychologues de l'éducation surveillée clôture ce numéro.
