Premier numéro de la revue Ancres qui, en articulant les écrits de différents acteurs de l'éducation surveillée (chercheurs, Professionnels de terrains, journalistes, élus, etc.), propose des articles de fonds, des chroniques, un Agenda, des enquêtes, etc. Ce numéro se consacre à l'actualité des métiers en regard des Politiques publiques ainsi qu'à l'actualité de la Recherche en sciences sociales. Une enquête ouvre par ailleurs un débat sur le métier d'éducateur. Un chapitre présente l'Histoire de la formation ainsi que du site de Vaucresson. Enfin, le numéro est clos par trois nouvelles.
Second numéro de la revue Ancres qui, en articulant les écrits de différents acteurs de l'éducation surveillée (chercheurs, Professionnels de terrains, journalistes, élus, etc.), propose des articles de fonds, des chroniques, un Agenda, des enquêtes, etc. Ce numéro se consacre dans un premier temps à l'évolution de l'éducation surveillée, des colonies agricoles et pénitentiaires au travers d'archives photographiques. Il aborde par ailleurs points de de vue sur la Culture Jeune : vêtements, LangAge, image, etc. Illustré de nombreux clichés et témoignages, il développe également le travail d'éducateur.
Troisième numéro de la revue Ancres qui, en articulant les écrits de différents acteurs de l'éducation surveillée (chercheurs, Professionnels de terrains, journalistes, élus, etc.), propose des articles de fonds, des chroniques, un Agenda, des enquêtes, etc. Ce numéro se consacre aux problématiques de l'hébergement sous les angles de l'Histoire, des Politiques gouvernementales et des collectivités locales. Sont également abordées la déontologie du travailleur social, la responsabilité du Mineur ou encore les difficultés des psychologues à répondre aux Jeunes suivis ainsi qu'aux équipes également en demande de notion et de soutien. Un autre témoignage développe la place des animaux dans le travail éducatif en hébergement.
Quatrième numéro de la revue Ancres qui, en articulant les écrits de différents acteurs de l'éducation surveillée (chercheurs, Professionnels de terrains, journalistes, élus, etc.), propose des articles de fonds, des chroniques, un Agenda, des enquêtes, etc. Dans le problongement du précédent numéro (n°3), celui-ci consacre également son Dossier à la problématique de l'hébergement. Le focus est porté sur l'aspect carcéral, la Famille ou encore l'hébergement d'urgence. La seconde partie du numéro rend compte des rencontres de la Villette qui ont réuni les missions locales de France autour des questions sur le Mineur, notamment l'Insertion Professionnelle, l'empLoi, la formation.
Cinquième numéro de la revue Ancres qui, en articulant les écrits de différents acteurs de l'éducation surveillée (chercheurs, Professionnels de terrains, journalistes, élus, etc.), propose des articles de fonds, des chroniques, un Agenda, des enquêtes, etc. Ce numéro est essentiellement consacré à la délinquance et aux différents débats et controverses concernant le traitement, la Prise en charge, les différentes approches (systémiques, Comportementalistes, etc.)
Sixième numéro de la revue Ancres qui, en articulant les écrits de différents acteurs de l'éducation surveillée (chercheurs, Professionnels de terrains, journalistes, élus, etc.), propose des articles de fonds, des chroniques, un Agenda, des enquêtes, etc. Ce numéro est essentiellement consacré aux problématiques de Territoire et d'urbanisation (ségmentation de la ville et Politiqued'aMénagement) : le développement des Quartiers, des cités, les aspects du Logement et des moyens existants, sous les angles de l'action sociale, du judiciaire et du Travail avec les Jeunes.
Septième numéro de la revue Ancres qui, en articulant les écrits de différents acteurs de l'éducation surveillée (chercheurs, Professionnels de terrains, journalistes, élus, etc.), propose des articles de fonds, des chroniques, un Agenda, des enquêtes, etc. Ce numéro s'organise autour de la présentation des nouvelles technologies, se démocratisant dans les années 80. L'usAge de l'Informatique dans le travail social, les pédagogies mises en oeuvres autour de ces outils offrant de nouvelles perspectives à l'Education surveillée, à l'Enseignement ou encore à la lutte contre l'Illettrisme.
Huitième numéro de la revue Ancres qui, en articulant les écrits de différents acteurs de l'éducation surveillée (chercheurs, Professionnels de terrains, journalistes, élus, etc.), propose des articles de fonds, des chroniques, un Agenda, des enquêtes, etc. Ce numéro est thématisé par un Dossier traitant de la délinquance abordé sous les angles de l'action sociale, de la prévention, des enjeux et des réalisations locales.
Neuvième et dernier numéro de la revue Ancres qui, en articulant les écrits de différents acteurs de l'éducation surveillée (chercheurs, Professionnels de terrains, journalistes, élus, etc.), propose des articles de fonds, des chroniques, un Agenda, des enquêtes, etc. Ce dernier numéro rassemble des écrits et témoignages de médecin, psychiatre, éducateurs, Professeur, sociologue, etc. qui abordent les problématiques du Travail social et de la Jeunesse en difficulté par des thèmes variés de la Drogue, de la relation éducative, de la parole, etc.
Présentant un montage de photographies, de vidéos et d’interviews de témoins du travail de l’Education surveillée dans la colonie de Belle-Ile-en-Mer (celui d’un éducateur qui y travaillait dans les années 1950, de deux mineurs pris en charge dans les années 1960/1970, et du maire de la commune du Palais en 1997), ce documentaire retrace un siècle d’Histoire tumultueuse du célèbre centre jouxtant la Citadelle de Vauban. La dureté des conditions de vie et de la discipline dispensée dans ces murs y est bien décrite, la référence en filigranes au texte « La chasse à l’enfant » de Jacques Prévert venant renforcer l’atmosphère qui se dégage des lieux mis en avant. En effet le film fait largement référence à la mauvaise réputation des sites de Bruté, de Haute Boulogne, un véritable « bagne pour enfants » dénoncé par la presse ; la colonie accueillait pendant longtemps les délinquants les plus récalcitrants et un personnel éducatif aux méthodes sévères, agents considérant comme une sanction le fait d'avoir été affectés sur cette île. Tournée vers l’activité agricole mais surtout maritime, la colonie de Belle-Ile n’en était pas moins un centre de formation efficace et reconnu pour la qualité de son enseignement technique, de ses formations.