Ce cinquième numéro revient sur l'histoire de l'IPES de Saint-Hilaire via deux témoignages, celui de Victor Ventré, directeur de l'institut de 1947 à 1957, et celui de J.-J. Ratier, éducateur dans ce même établissement dans les années 50.
Ce sixième numéro contient le témoignage de trois professionnels relatant leur première journée à l'éducation surveillée : celui de Claude Guichet, éducateur à l'IPES de Saint-Hilaire en 1946, celui de Sylviane Auger, éducatrice au Bon Pasteur de Bourges en 1946 également, et celui de Roger Vibert-Vichet, éducateur à l'IPES de Saint-Maurice en 1955.
Ce septième numéro contient la suite des témoignages de deux éducateurs, celui de Claude Guichet, éducateur à l'IPES de Saint-Hilaire en 1946, et celui de Sylviane Auger, éducatrice au Bon Pasteur de Bourges en 1946 également.
Ce huitième numéro relate la naissance de la colonie de Saint-Hilaire, les changements instaurés au COPES de Savigny de 1946 à 1951 sous l'impulsion de son directeur François Dhallenne et les souvenirs de Raoul Léger, colon de Mettray.
Ce onzième numéro comprend les témoignages de Roger Vibert-Vichet, directeur du Foyer de semi-liberté de la Courneuve à cette époque, de J.J. Ratier, éducateur à l'IPES de Saint-Hilaire vers 1955, et de Louis Casali, l'un des pionniers de la rééducation.
Ce dix-huitième numéro revient sur Mai 68 à l'éducation surveillée. Il relate également l'histoire de l'Ordonnance de 1958 en 1959 à Saint-Maurice à travers le témoignage de Bernard Brun. Enfin, un hommage à Joseph Menga, éducateur, clôture ce dernier.
Ce vingt-et-unième numéro contient le témoignage d'un psychologue, Pierre Segond, ayant exercé au centre spécial d'observation de l'éducation surveillée (CSOES) de Fresnes de 1963 à 1966. Ce dernier est complété par deux récits de Roger Vibert-Vichet, l'un concernant le CSOES de Coulommiers, et l'autre celui d'Epernay.
Ce vingt-deuxième numéro relate, à travers un texte de Jacques Herbet-Pain, l'histoire du foyer de Bures-sur-Yvettes mis en place en 1957 par René Courtois, alors directeur des services parisiens de l'éducation surveillée. On y retrouve également le témoignage de Gilbert Cormier, éducateur à Saint-Jodard en 1947. L'annonce du decès d'Edmond Tavernier, qui avait fait une partie de sa carrière à l'éducation surveillée, clôture ce dernier.
Ce vingt-troisième numéro relate, à travers un texte de A. M. Ighillarba, l'histoire de l'internat approprié d'El Biar (IAEB) de 1955 à 1960. On y retrouve également le témoignage de Roger Bello, stagiaire au foyer de semi-liberté de l'Equipe Sociale à Bône (aujourd'hui Annaba) en 1960.
Ce quatre-vingtième numéro est consacré à l'observation. Le dossier est composé de deux articles. Dans le premier, Jean-Pierre Jurmand poursuit l'histoire du centre d'observation publique d'éducation surveillée (COPES) de Marseille, de la prison des Beaumettes aux Chutes-Lavie. Dans un second, Henri Tessandori, Serge Soto et Jean-Pierre Léguillier, trois professionnels ayant évolué au sein de ce même COPES, partagent avec nous leurs souvenirs dans cet établissement. Ce numéro se clôture par la présentation d'une archive, commentée par Gisèle Fiche, qui consiste en les voeux de Raymond Pailhès prononcés devant les personnels de l'institution pour la nouvelle année 1960.
